Publié le : 7 August,17 à 14 h 06 min
A en croire le REPRODHOC/Kasaï Central, ces hommes au nombre d’un bataillon organique, formés dans le maniement des armes et possédant encore les outils ayant la capacité de destruction devraient encore passer par beaucoup de formalités avant d’être enfin considérés des démissionnaires d’office.
Considérant le fait que la province venait de traverser un phénomène meurtrier de l’ampleur tragique incommensurable jamais connu dans son histoire, ce Réseau estime qu’il s’agit d’une raison de craindre le soulèvement de ces policiers, si jamais les mesures préventives n’ont pas été envisagées avec tous les risques de déboucher à un nouveau phénomène cette fois-là, avec les hommes en arme.
Certains parmi eux réclameraient les arriérés des salaires qui varient entre trois et six mois pourtant, cette liste des démissionnaires n’est sortie en date du 26 Avril 2017, indique le Communiqué.
La loi N° 13/013 du 1e Juin 2013, portant statut du personnel de carrière de la police dans son article 228 n’accorde pas un tel pouvoir à un animateur d’une entité de la police. Mais plutôt, elle lui reconnait juste les prérogatives d’information à l’autorité ayant le pouvoir de nomination qui est le Président de la République ou le Ministre de l’Intérieur. Cette mesure est sortie de l’extraordinaire.
Au vu de ce qui précède, les ONGDH recommande ce qui suit :
REPRODHOC/Kasaï Central
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